[in my heart]

PANDHORA.D.ROSEBURY. la mesure de l'amour, c'est d'aimer sans mesure; St Augustin . . ton âge ♞ 23 ans; 19 physiquement. ta date de naissance ♞ 31 octobre 1992 ton lieu de naissance ♞ londres nationalité ♞ anglaise. situation ♞ compliquée. quel est ton groupe ? ♞ god blessed you, or not. quelle est ta race ♞ élue. capacités spéciales ♞ cryokinésie & maîtrise de la douleur. ta célébrité ♞ frida gustavsson. « Ne jamais se laisser faire. C'est la règle d'or pour survivre. Ma mère a été assassinée, mon père s'est suicidé, et moi j'ai appris la leçon. Laquelle ? Celle qui vous dit que la vie peut s'échapper à n'importe quel moment. Je ne voulais pas que ma vie m'échappe, je voulais contrôler le destin, contrôler le temps qui nous glisse dessus, mais petite sorcière ne peut acquérir si grande puissance en si peu de temps.. alors je me suis tournée vers des créatures qui, toute mon enfance me fascinèrent autant pas leur force que leur immortelle beauté : les vampires. Egoïste et cruelle ? Je l'étais peut-être.. je ne le suis aujourd'hui que plus encore, mais mon égoïsme a ses limites en la personne de Zwei, à qui j'accorde une fidélité sans borne, et surtout, une dévotion hors du commun. Je lui cède tout ce que je balance aux autres avec acidité. Non, je ne suis pas une gentille fille, je ne suis même pas psychologiquement stable, mais est-ce que l'on demande aux élus ? Jamais. J'ai la chance de connaître la cause des changements qui s'opèrent en moi, et je remercie chaque jour les plus noirs aspects des Enfers de m'offrir ce dont j'ai toujours rêvé, quel qu'en soit le prix.. »

. A quelle race de notre folklore appartiens tu? Raconte-nous comment tu en es arrivé là, comment le vis-tu maintenant. « Sorcière.. c'est ce que j'étais jusqu'à preuve du contraire. On nous destine à protéger l'humanité.. mais l'humanité nous le rend elle ? Non. Elle est aveugle et, pour ne pas choquer ou finir comme à Salem dans des temps reculés, nous devons nous cacher. J'acceptais ce fait.. j'acceptais, jusqu'à ce que ma mère soit froidement assassinée par un psychopathe, un dérangé. Si eux peuvent goûter à tous les excès, pourquoi devrions-nous faire le bien ? Veiller sur des ingrats qui pouvaient m'ôter la vie, même pas la peine d'y songer. C'est là que j'ai croisé ce vampire.. ce vampire qui a fait de moi son élue. Vous cherchez les Rosebury pour leur réputation magique ? Ne vous attendez pas à en trouver l'héritière, elle est morte.. morte dans des bras froids. Si mon coeur bat ? Toujours.. mais je ne suis plus qu'à moitié humaine et je saurais vous faire payer votre ingratitude et votre vanité. » « Il est de sacrifices que l'on fait pour autrui, et d'autres que l'on fait par pur égoïsme. Vous savez ce que je pense de l'altruisme ? Ce sont des foutaises. On attend toujours un retour, pour chaque bonne action est espérée une récompense. Pessimiste ? Non, je suis réaliste. Je crois que les anges n'existe pas, je crois que la vie est cruelle par nature, et je reste persuadée que l'homme est voué aux Enfers quoi qu'il fasse pour racheter le péché originel. Si j'ai peur de la mort ? Non. La mort sera le passage vers l'éternité et Dieu sait que l'éternité, c'est long, surtout vers la fin. » « J'ai grandi à Londres, dans un quartier riche. J'étais une de ces gosses friquées à qui tout devait réussir et dont le simple sourire était récompensé par une peluche, une poupée ou n'importe quel autre cadeau. La cuillère en argent dans la bouche et de l'or au bout des doigts. Ma mère, descendante d'une famille sorcière nommée Wilson et mon père, erreur génétique ayant hérité du même gène magique, se sont mariés jeune et ont donné naissance à un fils avant de m'avoir. Fils décédé bien trop tôt à leurs yeux, alors qu'il n'avait que vingt ans. Nous avions dix ans d'écart, dix ans qui faisaient de moi la perle rare, la dernière Rosebury, loin du fléau que j'étais destinée à devenir. J'étais une fillette généreuse, une petite rousse qui se fascinait pour les histoires surnaturelles contées par ses parents.. j'avais ce regard admiratif que mon père désapprouvait lorsqu'il me parlait des vampires, ces suceurs de sang que nous devions détruire. J'avais aussi un sourire, un sourire pour la vie, et en chaque instant je voyais un cadeau. » extrait du journal de Pandhora Rosebury. « Dhevlyn ! Dhevlyn va dans ta chambre ! » Elle est restée plantée là, l'adolescente. Elle a observé le massacre sans broncher. Elle a vu la souffrance dans le regard de sa mère qui se faisait poignarder.. elle a vu la crainte, la peur dans les prunelles vertes de son père après avoir rencontré la lame à son tour.. et elle, elle n'a rien fait. Elle a attendu qu'il porte son attention sur elle, elle n'a cependant pas compris qu'il s'en aille ainsi, sans chercher à lui nuire.. c'était un homme, un être humain de ceux qu'elle était chargée de protéger et c'est ce qui a provoqué sa colère, cette fureur grondante qui marqua le début de la descente aux enfers. extrait de vie de Pandhora Rosebury. « Qu'est-ce que tu me veux ? » Elle a sourit, un de ces sourires qui la rendait terrifiante. La sorcière qu'elle était avait perdu de sa douceur, elle n'était plus la tendre, la délicieuse Pandhora Rosebury.. Ô ça non. Lentement, elle s'est approchée de l'homme et lorsqu'elle s'est trouvée face à lui, elle a tendu la main jusqu'à son visage. « Qui es-tu ? » a-t-il murmuré, fixant son regard dans celui de la jeune femme. « Ta fin. » a-t-elle soufflé alors que, du bout de ses doigts, s'échappaient une fine couche de glace. Le corps s'est glacé de l'intérieur, l'eau constituant son corps s'est gelée jusqu'à ce qu'il s'écroule lourdement à ses pieds. Une bourrasque de vent a balayé les feuilles, a soulevé ses cheveux et dans l'ombre, une silhouette s'est détachée. Pas d'échange vocal, juste un lien visuel qui s'est établit de lui-même entre eux. Il était témoin de sa vengeance, il était observateur silencieux au charme envoûtant. Il était ce qu'elle voulait être. extrait de vie de Pandhora Rosebury. « Je veux être plus forte. C'est la condition à mes services. » Ce n'était pas négociable. Elle se trouvait face à ce vampire croisé le soir de la vengeance, de la punition ultime. Il était beau à s'en damner mais ce n'était pas ce qui l'attirait, elle avait le coeur occupé par un autre, autre qu'elle voulait oublier en l'instant pour se consacrer entièrement à cet être qui pouvait devenir sa libération, sa porte pour une puissance autant désirée que redoutée. Appuyée contre le mur de la demeure, elle le fixait, le bleu-vert de ses prunelles planté dans celles de Peter, sans crainte.. que pouvait-elle craindre ? Il avait besoin d'elle, elle avait besoin de lui, et elle ne voyait aucun problème à mettre le lien le plus dangereux qui soit en place. Si elle avait des scrupules à placer son destin entre ses mains ? Non. Alors elle s'est approchée, de ce pas félin et gracieux qui la caractérisait si bien, avant de se glisser derrière lui pour souffler près de son oreille. « Il n'y a pas de lien plus fort que celui du sang, n'est-ce pas ? Vous voulez ma fidélité ? » Elle s'est écartée doucement avant d'attraper l'athamé qu'elle avait accroché à sa ceinture, en sorcière prévoyante, et lentement elle a tracé une entaille dans la chair de son poignet, attendant la réaction la plus naturelle qui soit pour un vampire. Il n'était pas nécessaire qu'elle fasse don du sien, de sang.. il suffisait qu'elle goûte à celui de l'immortel pour nouer sa vie à la sienne, cependant elle savait qu'en agissant ainsi, elle décuplerait l'efficacité. Si c'était courant ? Non. Les élus n'ont pas pour coutume de se renseigner sur le sujet puisqu'en général, ils ignorent tout de ce qui les rend différent. Elle se sentait privilégiée, dans ce monde d'ignorant, et elle voulait s'assurer que tout se passe pour le mieux. Dhevlyn lui a tendu l'objet tranchant, sans rompre le contact visuel et l'a laissé décider de ce qu'il voulait faire. La peau parfaite de l'homme s'est retrouvée mutilée à son tour. extrait de vie de Pandhora Rosebury. « Ma vie s'est arrêtée. Je n'oublierai jamais la saveur sucrée de son sang.. je me souviens pourtant que c'était désagréable, que ça avait un goût de rouille lorsque je saignais du nez. Je crois qu'il a usé de son don de persuasion pour donner à mon esprit des indications différentes de celles qu'il m'aurait offerte sans cela. J'en suis à la troisième prise.. il en faut sept pour solidifier le lien, pour le rendre effectif, actif.. j'ai remarqué des changements, déjà : les petites imperfections semblent s'effacer d'elles-même et mon teint me paraît légèrement plus pâle. Je me sens comme une droguée en manque, depuis trois heures.. j'en veux plus, toujours plus, mais je ne peux pas supprimer cette soif parce qu'elle est caractéristique. Je sais que cela va s'apaiser, qu'ensuite, j'aurais la capacité de prendre moi-même le liquide sur les victimes. Je ne serais que le quart d'un être parfait, mais je le serais assez pour arriver à mes fins. Je sais que la plus grande partie de mon être restera sorcière et donc humaine.. je compte en faire un avantage, non une faiblesse. J'espère simplement que ça ne tournera mal et que je parviendrai à me contrôler, que je ne sombrerai pas dans une folie sanguinaire liée à mon maître. Dans le pire des cas, Waterbury ne verra pas la différence, les mortels sont stupides. Ils rationalisent. » extrait du journal de Devhlyn Rosebury.

[with my soul]

PANDHORA.D.ROSEBURY. la mesure de l'amour, c'est d'aimer sans mesure; St Augustin . . ton âge ♞ 23 ans; 19 physiquement. ta date de naissance ♞ 31 octobre 1992 ton lieu de naissance ♞ londres nationalité ♞ anglaise. situation ♞ compliquée. quel est ton groupe ? ♞ god blessed you, or not. quelle est ta race ♞ élue. capacités spéciales ♞ cryokinésie & maîtrise de la douleur. ta célébrité ♞ frida gustavsson. « Ne jamais se laisser faire. C'est la règle d'or pour survivre. Ma mère a été assassinée, mon père s'est suicidé, et moi j'ai appris la leçon. Laquelle ? Celle qui vous dit que la vie peut s'échapper à n'importe quel moment. Je ne voulais pas que ma vie m'échappe, je voulais contrôler le destin, contrôler le temps qui nous glisse dessus, mais petite sorcière ne peut acquérir si grande puissance en si peu de temps.. alors je me suis tournée vers des créatures qui, toute mon enfance me fascinèrent autant pas leur force que leur immortelle beauté : les vampires. Egoïste et cruelle ? Je l'étais peut-être.. je ne le suis aujourd'hui que plus encore, mais mon égoïsme a ses limites en la personne de Zwei, à qui j'accorde une fidélité sans borne, et surtout, une dévotion hors du commun. Je lui cède tout ce que je balance aux autres avec acidité. Non, je ne suis pas une gentille fille, je ne suis même pas psychologiquement stable, mais est-ce que l'on demande aux élus ? Jamais. J'ai la chance de connaître la cause des changements qui s'opèrent en moi, et je remercie chaque jour les plus noirs aspects des Enfers de m'offrir ce dont j'ai toujours rêvé, quel qu'en soit le prix.. »

. A quelle race de notre folklore appartiens tu? Raconte-nous comment tu en es arrivé là, comment le vis-tu maintenant. « Sorcière.. c'est ce que j'étais jusqu'à preuve du contraire. On nous destine à protéger l'humanité.. mais l'humanité nous le rend elle ? Non. Elle est aveugle et, pour ne pas choquer ou finir comme à Salem dans des temps reculés, nous devons nous cacher. J'acceptais ce fait.. j'acceptais, jusqu'à ce que ma mère soit froidement assassinée par un psychopathe, un dérangé. Si eux peuvent goûter à tous les excès, pourquoi devrions-nous faire le bien ? Veiller sur des ingrats qui pouvaient m'ôter la vie, même pas la peine d'y songer. C'est là que j'ai croisé ce vampire.. ce vampire qui a fait de moi son élue. Vous cherchez les Rosebury pour leur réputation magique ? Ne vous attendez pas à en trouver l'héritière, elle est morte.. morte dans des bras froids. Si mon coeur bat ? Toujours.. mais je ne suis plus qu'à moitié humaine et je saurais vous faire payer votre ingratitude et votre vanité. » « Il est de sacrifices que l'on fait pour autrui, et d'autres que l'on fait par pur égoïsme. Vous savez ce que je pense de l'altruisme ? Ce sont des foutaises. On attend toujours un retour, pour chaque bonne action est espérée une récompense. Pessimiste ? Non, je suis réaliste. Je crois que les anges n'existe pas, je crois que la vie est cruelle par nature, et je reste persuadée que l'homme est voué aux Enfers quoi qu'il fasse pour racheter le péché originel. Si j'ai peur de la mort ? Non. La mort sera le passage vers l'éternité et Dieu sait que l'éternité, c'est long, surtout vers la fin. » « J'ai grandi à Londres, dans un quartier riche. J'étais une de ces gosses friquées à qui tout devait réussir et dont le simple sourire était récompensé par une peluche, une poupée ou n'importe quel autre cadeau. La cuillère en argent dans la bouche et de l'or au bout des doigts. Ma mère, descendante d'une famille sorcière nommée Wilson et mon père, erreur génétique ayant hérité du même gène magique, se sont mariés jeune et ont donné naissance à un fils avant de m'avoir. Fils décédé bien trop tôt à leurs yeux, alors qu'il n'avait que vingt ans. Nous avions dix ans d'écart, dix ans qui faisaient de moi la perle rare, la dernière Rosebury, loin du fléau que j'étais destinée à devenir. J'étais une fillette généreuse, une petite rousse qui se fascinait pour les histoires surnaturelles contées par ses parents.. j'avais ce regard admiratif que mon père désapprouvait lorsqu'il me parlait des vampires, ces suceurs de sang que nous devions détruire. J'avais aussi un sourire, un sourire pour la vie, et en chaque instant je voyais un cadeau. » extrait du journal de Pandhora Rosebury. « Dhevlyn ! Dhevlyn va dans ta chambre ! » Elle est restée plantée là, l'adolescente. Elle a observé le massacre sans broncher. Elle a vu la souffrance dans le regard de sa mère qui se faisait poignarder.. elle a vu la crainte, la peur dans les prunelles vertes de son père après avoir rencontré la lame à son tour.. et elle, elle n'a rien fait. Elle a attendu qu'il porte son attention sur elle, elle n'a cependant pas compris qu'il s'en aille ainsi, sans chercher à lui nuire.. c'était un homme, un être humain de ceux qu'elle était chargée de protéger et c'est ce qui a provoqué sa colère, cette fureur grondante qui marqua le début de la descente aux enfers. extrait de vie de Pandhora Rosebury. « Qu'est-ce que tu me veux ? » Elle a sourit, un de ces sourires qui la rendait terrifiante. La sorcière qu'elle était avait perdu de sa douceur, elle n'était plus la tendre, la délicieuse Pandhora Rosebury.. Ô ça non. Lentement, elle s'est approchée de l'homme et lorsqu'elle s'est trouvée face à lui, elle a tendu la main jusqu'à son visage. « Qui es-tu ? » a-t-il murmuré, fixant son regard dans celui de la jeune femme. « Ta fin. » a-t-elle soufflé alors que, du bout de ses doigts, s'échappaient une fine couche de glace. Le corps s'est glacé de l'intérieur, l'eau constituant son corps s'est gelée jusqu'à ce qu'il s'écroule lourdement à ses pieds. Une bourrasque de vent a balayé les feuilles, a soulevé ses cheveux et dans l'ombre, une silhouette s'est détachée. Pas d'échange vocal, juste un lien visuel qui s'est établit de lui-même entre eux. Il était témoin de sa vengeance, il était observateur silencieux au charme envoûtant. Il était ce qu'elle voulait être. extrait de vie de Pandhora Rosebury. « Je veux être plus forte. C'est la condition à mes services. » Ce n'était pas négociable. Elle se trouvait face à ce vampire croisé le soir de la vengeance, de la punition ultime. Il était beau à s'en damner mais ce n'était pas ce qui l'attirait, elle avait le coeur occupé par un autre, autre qu'elle voulait oublier en l'instant pour se consacrer entièrement à cet être qui pouvait devenir sa libération, sa porte pour une puissance autant désirée que redoutée. Appuyée contre le mur de la demeure, elle le fixait, le bleu-vert de ses prunelles planté dans celles de Peter, sans crainte.. que pouvait-elle craindre ? Il avait besoin d'elle, elle avait besoin de lui, et elle ne voyait aucun problème à mettre le lien le plus dangereux qui soit en place. Si elle avait des scrupules à placer son destin entre ses mains ? Non. Alors elle s'est approchée, de ce pas félin et gracieux qui la caractérisait si bien, avant de se glisser derrière lui pour souffler près de son oreille. « Il n'y a pas de lien plus fort que celui du sang, n'est-ce pas ? Vous voulez ma fidélité ? » Elle s'est écartée doucement avant d'attraper l'athamé qu'elle avait accroché à sa ceinture, en sorcière prévoyante, et lentement elle a tracé une entaille dans la chair de son poignet, attendant la réaction la plus naturelle qui soit pour un vampire. Il n'était pas nécessaire qu'elle fasse don du sien, de sang.. il suffisait qu'elle goûte à celui de l'immortel pour nouer sa vie à la sienne, cependant elle savait qu'en agissant ainsi, elle décuplerait l'efficacité. Si c'était courant ? Non. Les élus n'ont pas pour coutume de se renseigner sur le sujet puisqu'en général, ils ignorent tout de ce qui les rend différent. Elle se sentait privilégiée, dans ce monde d'ignorant, et elle voulait s'assurer que tout se passe pour le mieux. Dhevlyn lui a tendu l'objet tranchant, sans rompre le contact visuel et l'a laissé décider de ce qu'il voulait faire. La peau parfaite de l'homme s'est retrouvée mutilée à son tour. extrait de vie de Pandhora Rosebury. « Ma vie s'est arrêtée. Je n'oublierai jamais la saveur sucrée de son sang.. je me souviens pourtant que c'était désagréable, que ça avait un goût de rouille lorsque je saignais du nez. Je crois qu'il a usé de son don de persuasion pour donner à mon esprit des indications différentes de celles qu'il m'aurait offerte sans cela. J'en suis à la troisième prise.. il en faut sept pour solidifier le lien, pour le rendre effectif, actif.. j'ai remarqué des changements, déjà : les petites imperfections semblent s'effacer d'elles-même et mon teint me paraît légèrement plus pâle. Je me sens comme une droguée en manque, depuis trois heures.. j'en veux plus, toujours plus, mais je ne peux pas supprimer cette soif parce qu'elle est caractéristique. Je sais que cela va s'apaiser, qu'ensuite, j'aurais la capacité de prendre moi-même le liquide sur les victimes. Je ne serais que le quart d'un être parfait, mais je le serais assez pour arriver à mes fins. Je sais que la plus grande partie de mon être restera sorcière et donc humaine.. je compte en faire un avantage, non une faiblesse. J'espère simplement que ça ne tournera mal et que je parviendrai à me contrôler, que je ne sombrerai pas dans une folie sanguinaire liée à mon maître. Dans le pire des cas, Waterbury ne verra pas la différence, les mortels sont stupides. Ils rationalisent. » extrait du journal de Devhlyn Rosebury.

[in my heart]

Ne crois pas, Ô Maître, que je n'ai pas de protection extérieure

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Ne crois pas, Ô Maître, que je n'ai pas de protection extérieure